A condition d’analyser que l’absolu ne doit pas être annihiler par l’illusoire précarité de nos amours, et qu’il ne faut pas cautionner l’irréalité sous des aspérités absentes et désenchantées, de nos pensées iconoclastes et désoxydé par nos désirs excommuniés de la fatalité.
Sinon c’est très joli mais un peu froid comme ambiance. Et surtout inaccessible.